Si notre mode de développement n’est pas durable sur le plan environnemental, il ne l’est malheureusement pas plus sur le plan humain et laisse nombre de personnes « sur le bord de la route ».
> suiteTandis que la richesse s’affiche sans complexe, la pauvreté s’accroît : 12,7 % des ménages grenoblois sont concernés par les minima sociaux...
> suiteLa ville ne peut pas se satisfaire de réparer (par ses politiques sociales et environnementales) les dégâts de ses propres politiques économiques.
> suiteLes collectivités et les établissements publics exercent de nombreux services publics locaux essentiels à la vie quotidienne. Certains services sont financés par l’impôt (action sociale, culture, sport et loisirs, vie scolaire, santé, déchets) dont les taux d’imposition sont votés avec le budget, d’autres sont financés par la contribution des usagers (eau et assainissement, électricité, gaz, chauffage, parkings, transports publics, équipements publics) et font l’objet de tarifs votés au conseil municipal. Les décisions prises par les élus du conseil municipal sont donc cruciales à propos de l’organisation, du contrôle, de la tarification de l’ensemble des services publics locaux.
> suiteAu moment où l’Etat se désengage lourdement de ses missions d’éducation (suppression de 11 000 postes d’enseignants, raréfaction des infirmières et assistantes sociales en collège, menaces sur notre système d’école maternelle), les collectivités locales doivent réaffirmer fermement le rôle primordial d’une éducation ouverte à tous, permettant de combattre les injustices sociales et d’éveiller l’enfant à la pleine citoyenneté.
> suiteNotre mode de développement est fondé sur un accroissement des inégalités entre les citoyens du Sud et ceux du Nord, sur l’exploitation des ressources naturelles des pays dit en « voie de développement » à notre seul profit.
Les écologistes souhaitent engager d’autres relations internationales, coopératives et non plus compétitives.